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ALFORTVILLE CONFLUENCE
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24 février 2006

Enquête publique = CONFIDENTIEL...

C'est au hasard de la lecture d'un panneau administratif que l'Alfortvillais "de base" aurait pu apprendre que la Mairie procède actuellement à une enquête publique en vue d'un déclassement partiel de voies (rues de Toulon et de Bordeaux).

Nous ne doutons pas que l'avis d'annonces légales soit paru. Chacun sait que cet avis, obligatoire, est d'une lecture très confidentielle. Dans quel journal ? Mystère.

Le Commissaire Enquêteur n'était visible que les après-midis des 13, 17, 20 et 24 février 2006. Il est déjà trop tard pour le rencontrer au moment où nous éditons ce message.

Le registre est, quant à lui, ouvert jusqu'au 27 février au SMITAC - 58 rue de Charenton.

Nous nous étonnons qu'aucune annonce n'ait été faite dans le BMO n° 106 (janvier-février 2006), ni sur le site internet officiel de la Mairie. C'était pourtant le moment.

Le manque de transparence de Monsieur le Maire, érigé en principe de gouvernance,  est réellement MALSAIN ET DANGEREUX POUR LA DÉMOCRATIE, pour reprendre sa terminologie.

ALFORTVILLE CONFLUENCE reste vigilante en ce qui concerne l'élaboration du Plan Local d'Urbanisme (PLU). En page 12 du même BMO, il est promis aux Alfortvillais d'être au coeur des ambitions du dispositif de ce plan, de les tenir informés et de les inviter à des réunions publiques.

Monsieur le Maire, procéderez-vous de la même manière pour le PLU que pour cette enquête publique de déclassement, c'est-à-dire très confidentiellement ? La question mérite d'être posée: nous vous la posons.

D'ailleurs, Monsieur le Maire, vous n'avez toujours pas répondu au courrier d'ALFORTVILLE CONFLUENCE en date du 04 janvier 2006 (voir notre message du 06 janvier 2006), demandant, en tant qu'association locale, à être associée à la concertation rendue obligatoire par la Loi comme vous l'avez indiqué lors du Conseil municipal du 21 octobre 2006.

Sans doute n'en avez-vous "pas le temps"? Comme vous le déclariez dans le journal 20 minutes du 03 février 2006. La question mérite d'être posée: nous vous la posons.

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